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éducation nationale - Page 3

  • Parents, ne laissez pas vos enfants subir les mensonges, les manipulations et les turpitudes de la Licra .

    livre-licra
     
    On est passé du "Racisme expliqué à ma fille" de T. Benjelloun à un livre de la Licra vendu 10€, payé par vos impôts car il va bien entendu inonder les CDI et biblios de toute la France.
     
    Le boulot a été confié à Antoine Spire, vice-président de la Licra et à Mano Siri, présidente de la Commission Culture de la Licra.
     
    La liste des contributeurs finit d’assurer l’orientation : Aït-Mohamed Salima, militante de la Licra, Daniel Farhi, ancien rabbin, Aurélie Filipetti, ministre de la Culture, Vincent Peillon, ancien ministre de l’Education Nationale, Elisabeth Ronzier, vice-présidente de SOS Homophobies, Louis-Georges Tin, président du CRAN,…
     
    Le" pdf" est offert gracieusement à tous les enseignants, qui seront chargés de répandre la bonne parole.
    Présentation : Depuis des années les militants de la Licra interviennent impunément dans les établissements scolaires de toute la France dans le cadre de l’éducation à la citoyenneté. À raison de 800 à 900 classes par an et plus de 20 000 élèves rencontrés chaque année, ils sont confrontés tous les jours aux approximations, aux déformations, voire aux manipulations.
     
    Les définitions sont l’œuvre d’une trentaine d’auteurs parmi lesquels Vincent Peillon et Aurélie Filipetti ministres de la République mais aussi certains de nos plus grands intellectuels : Henri Atlan ou Boris Cyrulnik, Mireille Delmas-Marty ou Jacqueline Costa-Lascoux. Ils ont tous tenu à forger ce petit outil conçu dans l’esprit de la réflexion d’Albert Camus : mal nommer les choses c’est ajouter au malheur du monde. Ce livre a été conçu par un collectif de militants de la Licra sous la responsabilité d’Antoine Spire et Mano Siri avec la collaboration de Salima Aït-Mohamed. Qu’ils en soient tous remerciés. (sic!)
    On remarquera au passage que la bonne parole de la Licra transgresse totalement la thématique du racisme ou de l’antisémitisme; au fil des articles on notera une propagande éhontée par exemple pour la théorie du genre et “l’orientation sexuelle” considérées comme “allant de soi”…
     
    Article “homme / Femme” p 75:
    “Il n’y a pas de déterminisme génétique, parce qu’on est homme, à la violence, au goût pour le combat et à la domination, pas plus qu’il y en aurait un à la douceur et à la soumission parce qu’on est, physiquement parlant, femme. Cela ne relève pas de l’hérédité biologique. Le genre d’homme ou de femme que nous devenons est à la fois une forme de choix– nous nous construisons nous-mêmes de par ce que nous pensons, décidons, et faisons – et l’acceptation plus ou moins consciente d’un héritage et d’un déterminisme culturel. ’un héritage et d’un déterminisme culturel.” (sic!)
    Article “Homosexualité” p 77:
    L’homosexualité est une orientation sexuelle et consiste à être attiré sentimentalement et sexuellement par une personne du même sexe que soi. L’homosexualité concerne autant les hommes, gays, que les femmes, lesbiennes. Si l’orientation sexuelle d’une personne peut varier au cours de son existence, en fonction des évènements de la vie, elle n’est pas un choix. On ne choisit pas d’être homosexuel, de la même manière que l’on ne choisit pas d’être hétérosexuel. En revanche, en fonction d’un environnement plus ou moins tolérant, plus ou moins acceptant, une personne homosexuelle peut choisir de vivre son orientation sexuelle ou au contraire se forcer à la cacher ou même à la nier. (sic!)
    Article “sexualité” p 136
    La sexualité est mue par le désir que l’on éprouve pour l’autre, quel qu’il soit : elle peut supposer l’amour mais pas nécessairement. Elle n’a plus pour finalité immédiate la reproduction humaine même si elle peut y conduire quand l’acte sexuel a lieu entre un homme et une femme. En général la sexualité comble un manque et participe de l’équilibre et du bonheur de l’être humain. Evidemment des hommes et des femmes peuvent vivre sans activité sexuelle par contrainte ou par choix et certains tentent de sublimer leur désir dans d’autres activités symboliques ou physiques. Il n’y a pas de sexualité naturelle ni contre-nature. (sic!)
    Bien entendu, on peut aussi y trouver une attaque en règle du christianisme, notamment, et surtout de l’Eglise !
     
    Article “Bible” p. 28
    Les chrétiens ont eu longtemps l’habitude de parler du nouveau testament à propos des évangiles, de l’apocalypse et des épîtres de Paul. C’était laisser croire qu’une nouvelle alliance se serait substituée à l’ancienne (ce fut la théologie catholique pendant des siècles, abandonnée à Vatican II) alors que la Bible est un tout dont les lectures sont plurielles. (sic!) Encore une thématique douteuse qui “interprête” selon ses vœux les textes de Vatican II qui n’ont jamais remis en cause la Nouvelle Alliance!
    Les article du “prêtre” Lefort valent le détour !
     
    Article “Incroyants” p. 83
    Le phénomène de l’incroyance, né en Europe au XVIe siècle en même temps que le protestantisme, conteste le magistère de l’Église après le règne meurtrier des Borgia. Les abus de l’Église sont pour beaucoup dans la naissance es abus de l’Église sont pour beaucoup dans la naissance de l’incroyance. Comment adhérer à l’idée d’un Dieu bon et tout-puissant quand ceux qui le représentent sur terre sont des criminels comme les papes de la Renaissance ? (sic!)
    Article “chrétiens et christianisme” p. 29
    (Cet article se présente sous la forme de la vision uniquement talmudique de l’existence de Jésus. On se demande d’ailleurs bien la raison d’un article portant uniquement sur l’existence de Jésus dans cette thématique vouée à l’antiracisme! )
     
    Ce qu’on y lit, proprement scandaleux, reprend mot à mot la thématique éculée du talmud soulignant bien sûr, contrairement à ce qui est spécifié dans les Evangiles (notamment la Passion selon St Matthieu, à savoir que Jésus a été arrêté par les milices des prêtres et traduit devant le tribunal juif… et que les Romains s’en sont lavé les mains laissant les juifs régler leurs problèmes juridico-théologiques entre eux) que ce sont les Romains qui ont arrêté et fait exécuter Jésus… Argumentation fallacieuse qui contredit en outre formellement les fameux versets censurés du talmud où “ils” se flattent d’avoir “pendu Jésus” le veille de la Pâques, notamment les fameux Sanhédrin 43 a et 67 a!
    "Il y a deux mille ans, un juif, nommé Yeshua beni Youssef beni Myriam que nous appelons aujourd’hui Jésus, a parcouru le royaume de Judée et les villes étrangères du nord en prêchant l’amour, la paix et la fraternité, et en critiquant la loi juive. Originaire de Nazareth, il a principalement vécu sa vie publique au bord du lac de Tibériade se glissant dans la peau d’un prophète juif. Les foules l’admiraient en raison des miracles et des guérisons qu’on lui attribuait. Mais le fait qu’il remette en cause certains aspects de la pratique rituelle, et qu’il parle au nom de Dieu comme s’il était Dieu, lui ont valu une forte inimitié de la part des autorités religieuses. Cela explique pourquoi il a été mis à mort à Jérusalem lors de la Pâques juive par les occupants romains qui le considéraient comme un dangereux agitateur. La surprise, c’est que quelques jours après ses amis, que l’on appelle aussi ses disciples, ont tout abandonné pour parcourir le monde en proclamant, au risque d’être eux-mêmes exécutés: « Nous l’avons vu, il est vivant ! » "
    Ce qui est aussi honteux que “subtil”, c’est que pour donner plus de “force” à leurs arguments (qui serviront à “évangéliser” plus de 20000 élèves formatés à la catéchèse feuj) tous les articles “religieux” sont signés du nom d’un prêtre (?) catholique – fort oublié aujourd’hui heureusement – pédophile notoire qui sort de 8 ans de prison pour – lors de ses missions dites humanitaires, il est aussi médecin – avoir “osculter” des petits sénégalais très au delà de la pratique diagnostique habituelle… http://www.jeuneafrique.com/Article/LIN19065lhommsemmoh0/ http://www.la-croix.com/Actualite/France/Huit-ans-de-prison-pour-le-P.-Lefort-_NG_-2005-06-27-589349
     
    Article “Croyants” p. 38
    Le croyant est celui qui dit : « je crois. » Aucune religion religion ne devrait dire : « Je suis sûr ! » Le doute est nécessaire à toute foi adulte. Tout le monde, même les agnostiques, même les athées croit en quelque chose qui ne peut pas être vérifié par la science ou les faits. Si le croyant peut dire : « Je crois », c’est parce que des personnes auxquelles il fait confiance lui ont parlé de révélations divines, invérifiables certes, mais qui correspondent profondément avec ce qu’il vit, avec ce qu’il éprouve lui-même « Dieu, personne ne l’a jamais vu », nous dit la Bible. Même Moïse ne voit passer qu’un nuage de lumière qu’il assimile à la gloire de Dieu. Mais ce que le croyant croit voir, ce sont les traces de Dieu : La Nature, la Beauté, l’Esthétique, la Justice et l’Amour. Si plusieurs croyants professent les mêmes affirmations alors se forme une religion, mais la religion n’est pas la foi, car la foi est personnelle et différente pour chaque individu. Celui qui par opportunisme s’attache à une religion sans avoir une foi personnelle est dans l’imposture. Avant l’avènement du christianisme il y avait des centaines, voire des milliers de religions et c’était le signe d’une appartenance à un groupe, à un peuple, à une nation. Aujourd’hui, il n’y a plus que deux religions : celle de ceux qui cherchent et celle de ceux qui croient savoir ; ces derniers sont dangereux, car, souvent, ils veulent imposer leur croyance.
    Quelle profession de foi pour un prêtre!!! Curieusement, ni suspendu, ni réduit à l’état laïc, Le “père” François Lefort sévit encore comme curé de la paroisse de Saint-Pal-en-Chalencon (Haute Loire) où il s’emploie à une illusoire demande en réhabilitation! C’est un manipulateur et un illusionniste, selon Laurent Bécaria, directeur des Editions des Arènes, qui n’a pas hésité à écrire: « Le mensonge est au père Lefort, ce que l’essence est à la voiture ». On peut s’étonner que cet individu au passé aussi lourd puisse être considéré comme un modèle et un théologien de premier ordre… Mais il est vrai que certains versets jamais contestés par les talmudistes sont pour le moins “équivoques” concernant la pédophilie… Ceci peut expliquer cela…
     
     

  • En partenariat avec la LICRA , l 'Education Nationale montre bien qu' elle est " l' école du diable" !

     

     
    Convention entre le ministre UMP de l'Education nationale et la LICRA
    Convention entre le ministre UMP de l’Education nationale et la LICRA
     
    Renouvellement de partenariat entre le ministre socialiste de l'Education nationale et la LICRA
     
    Renouvellement de partenariat entre le ministre socialiste de l’Education nationale et la LICRA
     
    Najat Vallaud-Belkacem, ministre PS de l’Education nationale, a renouvelé ce 29 janvier un partenariat avec la Ligue internationale contre le racisme et l’antisémitisme (LICRA) entamé par Luc Chatel, ex-ministre UMP de l’Education nationale. Ce partenariat porte sur « la responsabilisation des élèves » et la « formation des enseignants ».
    « Najat Vallaud-Belkacem, ministre de l’Éducation nationale, de l’Enseignement supérieur et de la Recherche, et Alain Jakubowicz, président de la LICRA, ont renouvelé pour trois ans le partenariat liant la LICRA au ministère de l’Éducation nationale. La lutte contre le racisme et l’antisémitisme est une des missions fondamentales de l’École, réaffirmée dans la loi de refondation de l’École de la République du 8 juillet 2013 et dans le cadre de la grande mobilisation de l’Ecole pour les valeurs de la République à la suite des attentats parisiens des 7, 8 et 9 janvier dernier. La nouvelle convention engage la LICRA dans les mesures de responsabilisation des élèves, dont la ministre a annoncé le développement, afin de mieux les éduquer à la gravité des comportements xénophobes. Elle implique également la LICRA dans la “formation des formateurs” ainsi que dans la formation initiale et continue des enseignants et des équipes pédagogiques. »
    La commission Education de la LICRA produit chaque année un imposant matériel pédagogique et estime que ses interventions en milieu scolaire touchent chaque année plus de 21.000 élèves.
    Une nouvelle brochure éditée et rédigée par la LICRA, intitulée " 100mots pour se comprendre contre le racisme et l' anti-sémitisme" sera diffusée dans les écoles. Ou comment faire de la propagande anti-Dieudonné à l’école :
    « Monsieur M’bala M’bala dit Dieudonné […], la partie émergée d’un iceberg dont on n’a pas encore pris la mesure. De semaine en semaine, d’importantes manifestations se succèdent. “Jour de colère” en janvier 2014, vit des centaines, pour ne pas dire des milliers d’individus, crier leur haine des juifs. Ce fut la première manifestation ouvertement antisémite depuis l’occupation […] Des franges importantes de la société se mobilisent […] autour de haines et de fantasmes comme la pseudo “théorie du genre” qui serait enseignée aux petits enfants […] Les sites d’Alain Soral font de la publicité pour la littérature nazie. Éructant contre “les tapettes” (les gays) et les pétasses (les féministes), il touche, comme M. M’bala M’bala, des centaines, des milliers d’adeptes sur les réseaux sociaux et rassemble des centaines de fans dans les grandes villes où il va délivrer ses messages de haine. »
     

  • Avec Belkacem, l' Education Nationale continue encore plus à déstructurer les esprits .

    education-nationale-ministère
     
    Il aura fallu vingt morts pour exhumer un peu de bon sens d’un fatras idéologique imbécile. Enfin, plutôt pour annoncer que désormais, c’est promis, finies les bêtises, terminées les absurdités, on restaure l’autorité à l’école, nom d’un chien ! Papa ne porte plus de robe, Fifille ne joue plus avec des chars d’assaut ou des haltères de musculation et Fiston, juché sur des talons hauts, arrête de se gribouiller de mascara.
     
    Comment une classe politique entière, Belkacem et Rossignol en tête, a-t-elle pu vouloir imposer leurs inepties, que seule une caste « hors sol » peut défendre. Qu’elles aillent dans les campagnes, dans la France profonde, celle dont le sang des aïeux abreuve les sillons de l’Histoire. Qu’elles aillent demander en Vendée, dans le Massif Central, chez les Savoyards des Glières ou d’ailleurs, dans les villages du Chemin des Dames, enfin partout où est la vraie France, si le souci du temps présent consiste à demander à des petites filles, à qui l’on n’enseigne ni à parler, ni à lire ni à compter, si elles ne préfèreraient pas, après tout être des garçons ! Ou à convaincre des petits garçons que l’utilisation de leur zizi prime sur les apprentissages élémentaires.
     
    Ah ! Les garnements ne veulent pas chanter la Marseillaise ! Mais, c’est pas bien du tout, ça ! C’est pas « citoyen » ! Oh, les pauvres choux ! Jusqu’à présent, on s’est interdit de les réprimander ! Vous pensez, une punition ! Pas bien du tout ! Pas compatible avec les valeurs de la République !
     
    Et il a fallu un double attentat islamiste pour prendre un tout petit peu conscience de l’absurdité de la direction prise par l’école, alors qu’un nombre croissant de gens sensés tirent le signal d’alarme depuis des années.
    Et la mini-ministre de constater : « La question de l’autorité à l’école se pose. ».
    Quelle candeur ! A-t-elle trouvé cela tout seule ou le lui a-t-on soufflé ?
    Elle découvre l’eau tiède, le fil à couper le beurre.
     
    On a tout fait pour ne rien enseigner aux enfants et on est tout choqué de voir que l’on a réussi, que nos élèves, ou du moins certains d’entre eux, se foutent complètement du prof, de l’école, du contenu, de ce qu’il faut savoir pour être un adulte responsable. Qu’ils n’ont pas la plus petite notion de politesse élémentaire – se lever lorsque le prof entre en classe, vous n’y pensez pas ! c’est traumatisant –, qu’ils n’imaginent même pas qu’ils aient à apprendre le B. A. BA de la vie en commun. Alors on fait mine de s’effaroucher : « Y’a plus d’autorité » ! Oh ! le désastre ! Et le coup des gommettes de couleur pour remplacer les notes, cela ne remonte quand même pas à Mathusalem : elle est mouillée jusqu’au coup dans cette imposture, notre brillante et émérite ministre. Au passage, jamais une fonction n’a mieux porté son nom : ministre… même racine que minus !
    Alors on va corriger le tir : des cours de morale, des cours d’histoire des religions, des cours de laïcité, des cours de ceci…, des cours de cela… Et on croit que cela va changer les choses !
     
    Une suggestion : si l’on en revenait aux bonne vieilles bases : parler (avec plus de quatre cent mots), écrire (en évitant cinq fautes d’orthographe ou de syntaxe par ligne), apprendre par cœur (les fables de La Fontaine, par exemple) et compter (sans calculette). La refondation de l’école n’est pas une révolution des méthodes ; elle ne devrait pas non plus consister à tirer à vue sur des enfants que les parents peuvent aider – les fameux enfants « favorisés » ! – en déployant tout l’énergie nécessaire pour que tout le monde se retrouve au sous-sol de la connaissance élémentaire, sinon, « y’ a pas d’égalité ! ». La vraie refondation, celle qui est inéluctable, consiste à jeter au feu toutes les idioties qui ont gâché des générations d’élèves, qui ont fait plonger la France au plus bas de tous les classements internationaux, qui montrent, aujourd’hui, à la grande surprise des responsables du dossier, leur échec patent. Dans cette grande lessive, on pourrait également demander des comptes à tous ces fonctionnaires, hauts ou moins hauts, qui, sans l’ombre d’une esquisse de légitimité, ont influencé, dirigé, et finalement imposé cette désastreuse politique menée à marche forcée depuis des décennies par des cohortes de ministres impuissants à faire valoir le plus élémentaire bon sens.
     
    Aujourd’hui, la seule entreprise française qui résiste à la crise, c’est « la Fabrique du crétin », chère à F. Brighelli.